Equipe

DIRECTEUR DU LABORATOIRE

Martin Lévesque,Ph.D.

ASSISTANTE ET ASSISTANT DE RECHERCHE

Véronique Rioux, M.Sc.

Modesto R Peralta, BS.c.

STAGIAIRES POSTDOCTORAUX

Julia Obergastieger, Ph.D.

Je participe à la validation de cibles neuroprotectrices à la fois in vitro, avec l’utilisation de neurones dérivés d’iPSC, et dans un modèle de souris in vivo. Je me concentre sur les processus liés à l’autophagie et à la mitochondrie pour étudier et réduire l’accumulation d’alpha-synucléine et la neurodégénération dans la maladie de Parkinson.

ÉTUDIANT(E)S AU DOCTORAT

Charles Gora, M.Sc.

Mon projet vise à comprendre le développement des circuits dopaminergiques et se concentre sur la caractérisation des mécanismes impliqués dans la croissance axonale. En outre, nous voulons identifier les facteurs clés qui guident les projections spécifiques des neurones dopaminergiques vers leurs structures cibles.

Anne-Marie Castonguay, M.Sc.

Mon projet vise principalement à limiter la progression de la maladie de Parkinson dans le cerveau par l'utilisation de petits anticorps générés en laboratoire et injectés de manière intraveineuse dans un modèle de souris. Ces anticorps sont dirigés contre la protéine alpha-synucléine, qui est pathologique dans le contexte de cette maladie.

Victoria Soto, M.Sc

Avec les récentes évidences que l’œil est une fenêtre sur le cerveau ainsi que l’influence du microbiote sur notre système nerveux, mon projet de recherche vise à utiliser à la fois les anomalies de l’électrorétinographie (ERG) et les altérations du microbiote oral comme biomarqueurs pour le diagnostic précoce de la maladie de Parkinson .

Owen Ferguson, B.Sc.

J’utilise la microscopie à super-résolution pour caractériser les changements sub-cellulaires des neurones dopaminergiques humains dérivés à partir de cellules de patients atteints de la maladie de Parkinson.

Maureen Touchant, M.Sc.

Mon projet consiste à caractériser les changements morphologiques, fonctionnels et moléculaires induits par le stress social des neurones dopaminergiques au sein de la voie mésocorticolimbique. Pour ce faire, nous voulons définir le rôle de certains gènes différentiellement exprimés au niveau du soma et des projections axonales, de révéler leur contribution à l'expression de la susceptibilité ou de la résilience au stress social, et déterminer les mécanismes promouvant la résilience.

Beatriz Elena Lucumí Villegas, M.D.

Mon projet vise à créer des assembloïdes à partir de cellules humaines qui imitent les régions cérébrales interconnectées les plus touchées par la maladie de Parkinson, la voie nigro-striée, et à étudier les mécanismes de neurodégénérescence impliqués. Ainsi, contribuer à l'avancement de nouveaux traitements neuroprotecteurs efficaces contre la maladie de Parkinson.

ÉTUDIANT(E)S À LA MAÎTRISE

Sarah-Julie Bouchard, B.Sc.

Mon projet consiste en la comparaison du relâchement dopaminergique dans plusieurs parties du cerveau dans une situation d’apprentissage, en plus de mesurer l’effet d’une protéine spécifique sur les mécanismes cellulaires supportant ce relâchement.

Yahia Karioun, B.Sc.

J’utilise des approches virales transsynaptiques afin d’étudier et mieux comprendre l’anatomie fonctionnelle des circuits dopaminergiques. Concrètement, mon projet de recherche consiste à déterminer si certains sous-types de neurones dopaminergiques ont une préférence spécifique pour former des synapses avec les neurones possédant les récepteurs dopaminergiques D1, D2 ou les deux en même temps.

Sothary Ly, B.Sc.

Mon projet vise à identifier les composés existants, qui peuvent éventuellement moduler l'agrégation et l'accumulation d'alpha-synucléine en utilisant la technique CRISPR cas9 dans des neurones dopaminergiques dérivés de iPSC. La validation de ces composés peut contribuer à l'identification de nouveaux agents thérapeutiques pour la maladie de Parkinson.

Béatrice Morin, B.Sc

Mon projet consiste à regénérer le système dopaminergique, qui est gravement atteint dans la maladie de Parkinson, à l'aide de greffe de neurones dérivé de cellules souches qui exprimeront des mini-anticorps. Ces mini-anticorps sont dirigés contre la protéine alpha-synucléine, impliquée dans le développement de cette maladie.

Antoine Rousseau, B.Sc

 

Mon projet consiste à la conception d’un microscope Raman afin d’identifier différents tissus cérébraux.